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Atelier organisé par l’EPHE dans le cadre du Programme PSL/New York University « Insularités/insularities ». Lundi 18 mars 2019 CRIOBE, Moorea (Polynésie française).
Via DocBiodiv
Chez certaines espèces marines, la température de l’eau détermine le sexe. Le changement climatique pourrait ainsi affecter la proportion de mâles et de femelles chez certains poissons.
Via Hubert MESSMER , DocBiodiv
Auteur d'une étude internationale publiée le 22 octobre dans «Nature Climate Change», l'écologue Wolfgang Cramer écrit les conséquences environnementales et sanitaires du changement climatique dans les pays méditerranéens.
Via Hubert MESSMER , Lanne Marie-Christine
Les changements climatiques s’accélèrent dans le bassin méditerranéen. Ils exacerbent d’autres problèmes environnementaux déjà existants comme les changements dans l’utilisation des sols (urbanisation, agriculture intensive) ou la pollution croissante qui conduisent au déclin de la biodiversité. Une équipe internationale menée par Wolfgang Cramer (IMBE – CNRS/Université d’Avignon/IRD/Université Aix-Marseille) fait le point dans une synthèse publiée dans la revue Nature Climate Change.
Via DocBiodiv
L'océan peut aider à lutter contre les changements climatiques. Une étude passe en revue 13 solutions et évalue quelles sont les plus efficaces à l'échelle globale et locale.
Via DocBiodiv
Cette fonte accélérée représente une menace pour des centaines de millons de personnes vivant dans des zones côtières dans le monde, selon 84 chercheurs qui ont publié un article sur le sujet dans la revue "Nature".
Via DocBiodiv
Bonne nouvelle : le climat est une priorité du cadre budgétaire de l’Union Européenne pour la période 2021-2027 publié le 2 mai. Il va représenter un quart des programmes soit 5 % de plus que sur la période précédente (117 milliards d’euros sur 7 ans). Mais le projet ne comporte aucun dispositif de suppression des subventions aux énergies fossiles ou d’interdiction des infrastructures carbo-intensives. Le compte n’y est donc pas pour les ONG et les parlementaires européens les plus engagés.
Via Stéphane NEREAU
Les pays développés se sont engagés à porter d'ici 2020 à 100 milliards de dollars par an leur soutien aux politiques climat des plus pauvres qui doivent notamment se préparer aux impacts des dérèglements climatiques. Une promesse pour laquelle les pays du Sud réclament sans cesse des garanties.
Via Lanne Marie-Christine
A force de tirer la sonnette d’alarme sur le climat, les scientifiques peuvent faire penser pour certains d’entre nous à la fable du garçon et du loup. Or les études se multiplient et se répètent : tous les scénarios aboutissent à une aggravation qui se déroule sous nos yeux ...
Via AREC Occitanie
En résumé, les données sont claires : la situation est catastrophique. Cela ne fait pas forcément la une des débats publics, mais de plus en plus de scientifiques sérieux (la NASA, des scientifiques mandatés par l’Etat britannique, des chercheurs de l’Université Paul Sabatier de Toulouse) montrent que le changement climatique a dans le passé contribué à la chute de certaines civilisations, mais surtout que les changements accélérés que nous vivons actuellement pourraient, d’ici 2040, mener à une grave crise générale de nos sociétés. Autrement dit, à cause du changement climatique, nos sociétés pourraient s’effondrer bien plus tôt que l’on croit
Via congruence-RSO
Ancien vice-président du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), Jean-Pascal van Ypersele a été candidat à la présidence du réseau mondial de climatologues. Pour le JDLE, le Belge dresse un inventaire du travail accompli depuis trois décennies par l’institution onusienne. Et propose quelques réformes indispensables.
Via AREC Occitanie
Le changement climatique soumet le monde à des catastrophes naturelles de plus en plus violentes. L’île Maurice n’est pas épargnée. Chaleur, inondations, orages et pluies torrentielles sont désormais monnaie courante. Face à ces défis écologiques, il est important d’agir rapidement. «Maurice est parmi les pays les plus vulnérables au changement climatique. Nous sommes à la 7e position », a fait ressortir Vishnu Lutchmeenaraidoo, ministre des Affaires étrangères et président de la Commission de l’océan Indien (COI).
Via Stéphane NEREAU
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Une équipe internationale de chercheurs est parvenue, grâce à un modèle numérique inédit, à prédire un an à l’avance les effets attendus du dérèglement climatique sur la biodiversité marine. Les programmes d’observation de la biodiversité marine couvrent aujourd'hui une très faible superficie des océans et prennent le plus souvent place dans des régions proches des côtes. Difficile donc de déterminer l’évolution de cette biodiversité présente dans l'eau qui recouvre 70 % de la surface de notre planète. C’est pourtant ce qu’a réalisé une équipe internationale de chercheurs, menée par des scientifiques du CNRS.
Via DocBiodiv
Parmi les solutions proposées en matière de lutte et d'adaptation aux changements climatiques, celles offertes par la nature sont souvent méconnues et sous-estimées. Et pourtant, pour éviter un emballement climatique et réduire l'exposition des populations aux risques naturels, il est indispensable d'investir dans la préservation des écosystèmes et de la biodiversité. C'est le credo de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) qui a co-organisé à Marseille du 24 au 26 janvier 2019 des journées d'étude sur les solutions basées sur la nature, dites NbS (Nature-based Solutions)
Via DocBiodiv
Pour prévenir ses clients de l’évènement majeur qui se préparait dans l’Aude et les départements limitrophes le 14 octobre au soir, Generali France, à travers son partenariat avec Predict Services, a envoyé près de 38 000 « SMS d’alerte » dans 4115 communes. Ces SMS sont personnalisés en fonction du niveau de risque et du lieu de situation des biens assurés. Au total, une centaine de messages différents ont été développés.
Via Lanne Marie-Christine
Fonte rapide des glaciers dans les Ecrins, en Vanoise ou dans les Pyrénées, affaiblissement des gorgones dans les eaux des Calanques et de Port-Cros, prolifération des sargasses sur les côtes de Guadeloupe… Les parcs nationaux, “territoires d’exception” sont témoins - et victimes - du réchauffement climatique et de ses conséquences directes sur le monde vivant, sur notre santé et notre économie.
Via DocBiodiv
Une quinzaine de chercheurs, notamment du CNRS et de Sorbonne Université, publient une étude qui évalue le potentiel de treize solutions apportées par l'océan pour lutter contre le changement climatique. En absorbant une grande quantité de dioxyde de carbone et de chaleur, les océans jouent un rôle primordial dans la régulation du réchauffement climatique. Pourtant, la pollution issue des terres, la surpêche et bon nombre d'activités humaines installées sur les côtes endommagent considérablement le monde marin. Aujourd'hui, réfléchir à mieux protéger les océans permettrait de protéger la biodiversité toute entière. Les zones maritimes sont donc un véritable levier pour la cause écologique, estime la communauté scientifique internationale. VOIR AUSSI : La meilleure solution contre le réchauffement climatique, c’est de faire moins d’enfants Dans une vaste étude diffusée ce jeudi 4 octobre, les chercheurs de la "Ocean Solutions Initiative" proposent une synthèse inédite des solutions qu'offre l'océan afin d'atténuer le changement climatique. Au total, ce sont treize mesures qui ont été sélectionnées pour leur impact sur le dérèglement des températures. Ces mesures couvrent quatre champs d'action : • La réduction des causes du changement climatique grâce au développement des énergies marines renouvelables ou encore à la restauration et conservation des végétaux captant et stockant du carbone ; • La protection des écosystèmes grâce à la création d'aires marines protégées, la réduction de la pollution ou encore la fin de la surexploitation des ressources ; • La protection de l'océan contre le rayonnement solaire en modifiant le pouvoir réfléchissant des nuages ou de l'océan ; • L'intervention directe sur les capacités d'adaptation biologique et écologique des espèces, par exemple en relocalisant des espèces. Selon les scientifiques, ces différentes pistes – qui ne se mettent pas toutes en place avec le même degré de simplicité – gagneraient à être discutées par les gouvernements et la société civile. Texte par Émilie LAYSTARY
Via Jacques Le Bris
(mis à jour le 8 juillet 2018) Vendredi 6 juillet, le Président de la République Emmanuel Macron a réuni à l’Élysée six mastodontes de la finance mondiale : les fonds souverains de la Norvège, de la Nouvelle-Zélande, du Qatar, de l’Arabie Saoudite, du Koweït et des Émirats Arabes Unis. Ensemble, ils pèsent 3 000 milliards de dollars (environ 2 600 milliards d’euros). Et ils ont décidé de s'engager dans la lutte contre le changement climatique.
Via Lanne Marie-Christine
La Grande Barrière de corail est presque morte cinq fois en 30.000 ans, ressuscitant grâce à la migration de certains coraux, mais le rythme sans précédent de hausse du niveau et de la température des océans pourrait avoir raison d'elle, s'inquiète une étude publiée lundi.
Via DocBiodiv
Les catastrophes naturelles se multiplient : il y en aurait dans le monde environ 2 fois plus aujourd'hui qu'il y a 15 ans.
Via Lanne Marie-Christine
Plusieurs responsables européens se réunissent mercredi au ministère de l'Environnement pour tenter de revoir l'ambition climatique à la hausse et de sauver l'accord de Paris.
Via AREC Occitanie
Nous sommes à un moment historique, estiment les défenseurs du Pacte mondial pour l'environnement. Le projet de texte va faire l'objet d'une résolution onusienne dans les prochains jours. Celle-ci va ouvrir les négociations entre les différents États. L'objectif est d'aboutir d'ici 2020 à un traité mondial sur l'environnement qui pourra être invoqué devant les tribunaux.
Via Hubert MESSMER , AREC Occitanie
Les axes du plan : S’adapter au changement climatique Préserver les écosystèmes et reconnaître les services rendus Poursuivre l’amélioration de la qualité des ressources en eau Construire une société plus sobre en eau Réduire la vulnérabilité du territoire aux risques d’inondation et de coulées d’eaux boueuses Atténuer le changement climatique Vers une politique de l’eau qui contribue à l’atténuation Vers une politique énergétique compatible avec une préservation des ressources en eau Enjeux mixtes (adaptation/atténuation) Vers des sols vivants, réserves d’eau et de carbone Connaître et faire connaître
Via DocBiodiv
La France a décidé d'accroître son soutien au GIEC d'un million d'euros par an, assurant ainsi 15% des contributions au Groupe des experts du climat de l'ONU, a annoncé mardi le ministre des Affaires...
Via DocBiodiv
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